Alice et Marie Ghaloula

 Alice et Marie Ghaloula

 

 Le projet en quelques mots

Une plaque commémorative est installée dans chaque établissement scolaire de Paris et appelle au souvenir d'enfants déportés pendant l'occupation.

La plaque du collège Lucie Faure comporte cinq noms. Ces enfants fréquentaient notre établissement scolaire. Le projet consiste à mener une enquête pour connaître l'histoire de ces cinq jeunes filles déportées.

L'idée est de construire ou d’affiner les représentations sur l’occupation, l’émigration, la déportation, le rôle de la police, la mode vestimentaire, l'absence et la perte, le souvenir, le témoignage… à partir d'ateliers en classe entière ou en petits groupes, menés par l'équipe enseignante et des intervenants extérieurs. Mais il y a fort à parier que de larges zones d'ombre et de mystères ne seront pas éclaircies. D'où l'importance des ateliers d'Arts Plastiques pour élaborer les représentations, aborder l'absence, la perte ou encore le deuil. Les élèves ne possèdent qu'un seul élément au départ, le nom de la jeune fille. Tout le reste est à construire.


Les ateliers ont commencé !

Cette année, les élève de la classe de 3 ème A dont Mr Farella est Professeur Principal se penchent sur le triste destin de la famille Ghaloula et plus particulièrement des sœurs Alice et Marie Ghaloula.

Lors d'une première séance, les élèves ont élaboré une carte mentale et défini plusieurs axes de recherches avec Mme Bourgesse. Par petits groupe, ils ont rendu compte de leurs recherches aux élèves de la classe. Cette carte mentale sera visible pour l'exposition de fin d'année.

Mme Xavier a organisé une séance de rédaction de courriers à destination des sites recensant les archivages sur l'extermination des juifs d'Europe (Yad Vashem, Mémorial de la Shoah ...) 

Mr Darnal a commencé une activité sur la place qu'occupe la Musique dans l'espace concentrationnaire et notamment la figure d'Haïm Lipsky ainsi que "Nuit et brouilard" de Jean Ferrat.

Damien Roudeau, illustrateur, nous accompagne pour la deuxième année sur cette aventure. Cette année ses ateliers porteront sur le travail documentaire et dessiné.

Patrick Laurin fait également son retour au collège avec un travail de peinture sur l'absence et la disparition.

Mme Lemaire et les élèves étudient "Elle s'appelait Sarah" de Tatiana de Rosnay.

Sans oublier l'atelier de Mr Raffin sur l'oeuvre de Patrick Modiano "Dora Bruder" et la promenade commentée de Mr Meusnier dans le XX ème arrondissement.


Le reportage dessiné par Damien Roudeau 

Damien Roudeau nous fait le plaisir de poursuivre avec nous le travail sur les enfants déportés du collège.

Cette année ses ateliers porteront sur le principe d'enquête graphique et de reportage dessiné. Les élèves seront amenés à se plonger dans des références, des techniques, et à découvrir le travail en cours de Damien sur le génocide rwandais. La première séance a commencé vendredi 04/02.

Damien présente son travail d’enquête

Pascal réalise des prises de sons pendant l'intervention de Damien.



Quelques réalisations d'élèves.


L'atelier se poursuit avec pour consigne l'illustration du récit de Rahel Jédinak. Chaque élève reçoit un paragraphe du récit qu'il doit illustré en images. Damien se charge du montage des dessins avec les siens de manière à réaliser une narration visuelle complète. On a hâte de voir le résultat ! Merci Damien.
 
 

Atelier de peinture sur la présence et l’absence avec Patrick Laurin

Patrick Laurin, artiste peintre et Art Thérapeute travaille dans le XX arrondissement de Paris, notamment au sein du collectif CERCE qui dispense cours d'Arts Plastiques, de calligraphie japonaise , de musique, et des prises en charge en Art thérapie.

Il nous fait le plaisir de revenir au collège pour la poursuite des enquêtes sur les enfants déportés du collège. La première séance a eu lieu vendredi 04/02 en salle d'Arts Plastiques. Les élèves ont réalisé un fond coloré en peinture et choisi une image d'Alice ou de Marie qu'ils ont positionnée sur ce fond. La suite est encore une surprise pour nos élèves... A suivre. 

L'atelier de Patrick Laurin réunit une dizaine d'élèves.

Les élèves préparent les personnages, les soeurs Ghaloula qui vont venir occuper leur grand format.


Les élèves réalisent un fond à la peinture acrylique sur lequel le personnage va être collé à la pate adhésive.





Alice et Marie prennent place sur le fond coloré.



Puis, les élèves élaborent un environnement pour le personnage.


Elle est dans une salle de classe ...
Elle lit un livre chez elle ...



Elle est dans un jardin ...







La scène se précise ...




La dernière étape du dispositif consiste à enlever le personnage et à exploiter visuellement la place laissée par le vide du personnage, qui a maintenant disparu ...
 








Pour terminer ces trois séances d'atelier, Patrick Laurin présente les travaux et évoque avec les élèves les enjeux de leur création autour des questions du vide et de l’absence. Merci Patrick.

 

Une rencontre inoubliable 

Semaines chargées pour les élèves de la classe de 3èmeA puisque les activités autour du projet « Enfants déportés du collège » se poursuivent avec un moment particulièrement fort : la venue ce mardi 08 février de Mme Rachel Jedinak pour un temps d'échanges avec les élèves.

La présence et le discours de cette honorable et inconstatable grande dame ont rayonné dans le CDI du collège. Quand la petite histoire d'une jeune enfant de la période sombre de l'occupation résonne avec la grande Histoire, les dramatiques questions de la déportation, de la survie, de la peur prennent un contour inédit et concret pour nos élèves.

Avec émotion, simplicité, sincérité, sans jamais défaillir, Mme Rachel Jedinak nous a livré un récit bouleversant. Récit que tout jeune citoyen se doit de connaître. Merci Mme Jedinak.

Mme Rachel Jedinak au CDI du collège

Mme Rachel Jedinak est née à Paris, en 1934.

Ses parents venaient de Pologne. Ils se sont rencontrés et mariés en France. Rachel et sa sœur ont grandi et vécu dans le XX arrondissement de Paris.

Son père, Abraham Psankiewicz, est arrêté et déporté par le convoi n°5 le 28 juin 1942 après être passé par le camp de Beaune-La-Rolande

Elle est une rescapée de la rafle du Vélodrome d'hiver qui a eu lieu les 16 et 17 juillet 1942.

Sa mère,  Chana Psankiewicz, est arrêtée et déportée par le convoi n°12 le 29 juillet 1942 après être passée par le camp de Drancy.

Elle est l'auteure de Nous n'étions que des enfants, publié en 2018. Elle nous a fait l'honneur de dédicacer son ouvrage pour le CDI du collège.

Pour sa venue au collège, les élèves de la classe ont préparé de nombreuses questions pour un temps d'échanges après l'exposé de Mme Jedinak. Certains d'entre eux étaient chargés de réaliser des croquis sous le regard avisé de Damien Roudeau. Une petite équipe de dessinateurs a en effet été constituée suite à la première séance d'atelier de Damien. D'autres devaient accueillir Mme Jedinak. Les élèves ont été à la hauteur de l’événement. Bravo à eux.

Pascale et Dorian nous accompagnent également pour les prises sons et images de la rencontre. Merci également à eux pour leur participation et leur professionnalisme. 

Dans la salle du CDI
Le livre de Rachel Jedinak

Mme Jedinak et Mr Farella s’installent au CDI

Mme Mons prépare son matériel pour les prises de sons





Damien Roudeau réalise des croquis de la rencontre


L'équipe des élèves dessinateurs croquent les instants de la rencontre.


Les élèves ont de nombreuses questions à poser. C'est un moment d'échanges avec un témoin exceptionnel.

Mme Jedinak évoque les épisodes douloureux de son enfance.





 
 
Le récit de Rachel Jedinak en image par Damien Roudeau
 
Damien Roudeau a suivi et mis en images l'incroyable et bouleversant récit de Rachel Jedinak, cliquez sur le liens suivant pour découvrir son travail :
Les élèves se sont lancés dans une narration visuelle pour raconter à leur manière l'histoire de Mme Jedinak. Pour découvrir leurs travaux : 
 
 
 
 
 
Exposition "Partager et se souvenir" : Alice et Marie Ghaloula

Vendredi 20 Mai s'est tenu le vernissage de l'exposition des travaux de la classe de 3ème A sur les enfants déportés du collège, travaux qui nous ont permis de retracer le parcours de Marie et Alice Ghaloula. 

Le hall du bâtiment B abrite les recherches documentaires, archives et travaux des ateliers de Damien Roudeau et de Patrick Laurin. Le CDI était dédié à la projection de la vidéo réalisée Par Pascale Mons et Aurélia Raoull en présence de Mme Rachel Jedinak qui nous a fait l'honneur de revenir au collège pour cette présentation. Enfin, Mr Darnal a organisé dans sa salle, la présentation de la chanson de Jean Ferrat "Nuit et brouillard" avec un groupe d'élèves.

Merci aux parents, intervenants, élèves et personnel du collège pour leur présence et leur soutien au projet. Cette après midi a été un moment riche en échanges et émotions.

L'exposition est visible jusqu'au 1er juin 2022.


Les portrait d'Alice et Marie Ghaloula
L'histoire de Rachel Jedinak en images  

Peintures réalisées avec Patrick Laurin dans le cadre de l'atelier "De l'absence au souvenir"

Visites du Mémorial de la Shoah





Panneaux de recherches documentaire et d'archives.

Documents sonores

Une large part du projet est constitué de documents sonores sous forme d'enregistrements ou de podcast. Retrouvez l'intégralité des documents en cliquant sur l'image ci dessous. Puis scanner les QR Codes pour les écouter.

Les documents sonores du projet


Avancement du projet mai 2022

 

Nous avons lancé en 2020-2021 un projet pour retracer l'histoire et raviver la mémoire de Chana Finkielsztajn, jeune fille déportée à Auschwitz dont le prénom, le nom et l’âge apparaissent sur la plaque à l'entrée de notre collège. Nous avons travaillé avec une classe de 3e et l’ensemble de l’équipe pédagogique. Grâce aux investigations de nos élèves, nous avons pu retrouver la trace du frère de Chana, Maurice Finay, qui a survécu comme enfant caché et qui a pu nous fournir de précieux documents. Nous avons aussi reçu le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et les précieux conseils du Mémorial. Nous travaillons avec le dessinateur Damien Roudeau, l'art-thérapeute Patrick Laurin, la réalisatrice Aurélia Raoull, l'ingénieure du son Pascale Mons, le journaliste Denis Cosnard et le guide conférencier Stéphane Meusnier. Les élèves de Troisième ont été récompensés par le prix du Petit Lafue en mai dernier au moment où Hélène Dumas a reçu le sien pour son travail sur le génocide au Rwanda à hauteur d'enfants. Un partenariat est d’ailleurs envisagé avec elle pour les années futures.

 

Deux autres noms apparaissent sur la plaque commémorative et ont fait l'objet d'une nouvelle année d'étude avec des élèves de 3e entre novembre 2021 et mai 2022. Il s'agit de ceux d'Alice et Marie Ghaloula, âgées de 12 et 15 ans quand elles ont été envoyées dans le camp de la mort d'Auschwitz. Elles sont nées à Sousse en Tunisie et sont arrivées à Paris entre 1931 et 1933, année de naissance de leur petit frère Jacques à Paris dans le 12e arrondissement. 

 

On peut retenir deux moments particulièrement importants pour cette année scolaire : en recherchant le prénom du petit frère d’Alice et Marie dans l’école élémentaire (école de garçons en 1943) qui jouxte notre collège, nous avons découvert l’existence du grand frère Raymond (âgé de 17 ans au moment de la déportation). Pourtant, ce prénom n’apparaissait pas sur la liste du Mémorial de la Shoah ni sur celui de Yad Vashem. Il nous a fallu plusieurs mois de recherche pour comprendre qu’une faute d’orthographe sur le fichier de la Préfecture de Police relayée par le registre du camp de Drancy était à l’origine de cette erreur. Les élèves ont cette année encore été au cœur de cette reconstitution micro-historique : ce sont les élèves délégués de la classe qui ont constaté cette erreur aux Archives du Mémorial de la Shoah avant d’en faire part à toute la classe. Avec les fautes d’orthographe, on retrouve donc sur le site la présence de Raymond et même une photographie. 

 

 

Raymond Ghaloula  

 

 



 Les élèves ont ainsi poursuivi le travail engagé par la pose de la plaque dans le collège en contactant le Mémorial pour faire corriger l’erreur de nom de famille sur le Mur des Noms. La correction a eu lieu sur le site Internet du Mémorial de la Shoah au lendemain du vernissage de l’exposition et une nouvelle gravure sur le Mur est envisagée après 2025. 

 

Reste la question de la domiciliation de la famille : nous avons découvert que la famille Ghaloula était inscrite sur le Mémorial de la Déportation des Juifs de Saint-Ouen. Dans le fichier de la Préfecture de police, il y est fait également mention d’une domiciliation au 74, rue Montmartre à Saint-Ouen ; ce qui ne contredit pas l’adresse du 12, bd Davout mentionnée sur d’autres documents. Est-ce encore une erreur quand le 11, bd Davout apparaît sur le fiche de Mathilde, la mère de famille ? Les recensements de 1936 consultés aux Archives de la Ville de Paris et dans celles de Seine-Saint-Denis ne livrent pas de réponse. Les élèves se sont posé une autre question encore : pourquoi la mère des enfants a-t-elle été déportée dans le convoi suivant celui de son mari et de ses quatre enfants ?

 

L’autre moment qui restera très certainement aussi dans la mémoire des élèves de 3eA, est la rencontre avec Rachel Jedinak. Avec le Comité de l’Ecole de la Rue Tlemcen, elle est à l’origine de la pose de la plaque de notre collège et elle a suivi notre projet depuis son lancement. Elle est venue en parler avec les élèves et livrer les souvenirs très précis qu’elle a encore de son enfance, elle avait 8 ans (le même âge que Jacques Ghaloula) au moment de son arrestation, avec sa sœur et sa mère, lors de la Rafle du Vélodrome d’Hiver en juillet 1942.

 

Plusieurs actions ont pu être menées cette année dans de nombreux domaines différents :

- des recherches sur Sousse au début du XXe siècle et la communauté séfarade, sur le camp de Drancy et sur le contexte de la France pendant la période de la Collaboration. L’association l’enfant et la Shoah nous a prêté une dizaine de panneaux d’expositions sur le thème des enfants juifs à Paris entre 1939 et 1945. Une sortie au Mémorial a été programmée avec un éclairage particulier sur la famille Ghaloula. Un groupe d’élève s’est rendu dans les Archives du Mémorial et un autre dans celles de la Ville de Paris.

- la prise de contact avec différentes institutions internationales (messages rédigés en cours d’Anglais)

- des ateliers artistiques en Arts plastiques avec Damien Roudeau (dessinateur) et Patrick Laurin (art thérapeute) dont les travaux sont visibles sur le blog à partir du site du collège

- un travail de recherches historiques sur la musique dans les camps de la mort et la mise en voix de la chanson Nuit et Brouillard de Jean Ferrat

- l’étude du livre Elle s’appelait Sarah de Tatiana de Rosnay en Français et la rencontre avec l’écrivaine

- l’étude de Dora Bruder (atelier organisé par notre collègue de mathématiques) avec l’invitation de Denis Cosnard, journaliste au Monde et spécialiste de Modiano, le tout faisant l’objet d’enregistrements audio réalisés par les élèves et la professeur documentaliste

- Une promenade commentée dans le quartier en fonction de nos recherches sur les enfants Ghaloula, organisée par notre collègue également guide conférencier. Il restera deux autres noms pour deux autres années de projet entre novembre 2022 et juin 2024. Nous envisageons à l’avenir de travailler plus en avant avec trois classes de CM1-CM2 de l’école qui jouxte notre collège et où apparaît la plaque avec les noms des garçons assassinés à Auschwitz.


Nous sommes tout à fait conscients qu’il sera toujours impossible de retrouver entièrement la vie d’une personne. Les élèves ont déjà beaucoup appris de Chana Finkielsztajn et de la famille Ghaloula, nous sommes convaincus que les recherches futures seront très instructives, aussi fragmentaires soient-elles. Notre travail s’inspire beaucoup des œuvres de Christian Boltanski dont les lieux de mémoire sont chargés d’une « mémoire trouée ». Tous les objets qu’il nous présente ne donnent jamais accès à une mémoire entière. Mais le spectateur de ses œuvres peut pallier le manque d’information en se référant à ses propres souvenirs, à sa propre imagination. 
 

Réponse du Mémorial de la Shoah concernant Raymond, le frère d'Alice et Marie Ghaloula

Bonjour Monsieur Farella, 

Je vous remercie pour votre message ainsi que vos élèves pour vos recherches.

 Je vous confirme que nous allons bien corriger l’orthographe du patronyme de M. Raymond Ghaloula, au lieu de Gallula, sur le Mur des Noms.

 La fiche du camp de Drancy AN F9 5694, celle du fichier de contrôle de la Préfecture de Police section familiale AN F9 5612, et celle de la section individuelle AN F9 5642, attestent bien l’orthographe GHALOULA, qui est aussi celle reprise dans le Livre-mémorial de la Déportation des Juifs de France de Me Serge Klarsfeld.

Je signale aussi que son dossier conservé au service historique de la Défense, à la Division des Victimes des Conflits Contemporains (DAVCC), est également au nom de GHALOULA :

Résultats de recherche | Service historique de la Défense (defense.gouv.fr),

Résultats de recherche | Service historique de la Défense (defense.gouv.fr)

Caen - Division archives des conflits contemporains | Service historique de la Défense (defense.gouv.fr)

 J’ai d’ores et déjà mis à jour dans notre base de donnée son dossier informatisé ainsi que celui des membres de sa famille déportés, grâce à vous, et je vous en remercie.

Vous pourrez voir les mises à jour en ligne à partir de lundi prochain sur notre portail documentaire en ligne :

https://ressources.memorialdelashoah.org/notice.php?q=identifiant_origine:(FRMEMSH040870791693)

 

Pour ce qui est du report de la correction sur le Mur des Noms, il faut patienter encore. Nous pourrons préciser après 2025 au mieux, en fonction du nombre de modifications qui sera validé d’ici-là, le délai nécessaire pour lancer une nouvelle campagne de correction du monument.

Le nom sera alors effacé, un blanc restera à l’emplacement actuel, et le nom correctement orthographié sera gravé sur la dernière dalle de l’année de déportation concernée, 1943, nous avons réservé de la place à cet effet.

 Je vous remercie sincèrement pour votre intérêt et pour votre aide.

Si vous avez d’autres questions, je reste à votre disposition.

 Cordialement,

 Valérie Kleinknecht

 


Pour en savoir plus :

  • Le blog des disciplines artistiques pour suivre l’avancement du projet :

compositionslucie20.blogspot.com

  • Le reportage dessiné de Damien Roudeau…

https://drive.google.com/file/d/1REYx73efHLj67vDs6HXUmW14Ncjctrez/view?usp=sharing

 l    Les croquis des élèves :

https://drive.google.com/drive/folders/10bTchrAh3kSbMqpR756fUish6BGYb1n0?usp=sharin

http://www.fondationshoah.org/enseignement/partager-et-se-souvenir-sur-les-traces-dune-jeune-fille-deportee

  • La double page de la revue du XXe arrondissement consacrée au projet :

https://fr.calameo.com/read/0054511717008db3e27db?page=1

  • Le site du collège avec les rencontres et les documents vidéos et sonores :

https://pia.ac-paris.fr/serail/jcms/s1_2004230/fr/college-lucie-faure

  • La remise du prix du Petit Lafue en 2021 :

https://www.youtube.com/watch?v=zzKb3A6R2CE

Le message du frère de Chana Finkielsztajn :

" Bouleversé par l’admirable travail que vous,
vos partenaires et vos élèves, avez réalisé sur le
souvenir déchirant de ma sœur Chana et de ma
famille dont 80 ans après leur assassinat, je n’ai pas
réussi à faire le deuil.

 Très touché par les vidéos jointes relatant ce
douloureux passé.

 De tout mon cœur, je tiens à tous
vous remercier infiniment, pour votre émouvante
commémoration.

J’en reste profondément éprouvé.

Sentiments respectueux"

Marcel Finay



 



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire